Un goûter avec Claire Damon (Des gâteaux et du pain) et Pierre Hermé (Paris)

Avec un peu de retard, je vous présente un goûter estival que j'avais organisé avec des desserts de Claire Damon et Pierre Hermé lors d'un périple à Paris, ce qui explique la présence de la fraise sous toutes ses formes.

Le tea time anglais et la tartelette aux fraises de François Perret au Ritz Paris

Il y a quelques semaines déjà, j'ai testé le tea time anglais de François Perret au Bar Vendôme du Ritz. J'en ai profité pour déguster sa sublime tarte aux fraises qui se partage à deux et son entremets cake marbré.

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Les bûches de Pierre Hermé (Paris)

De passage à Paris, j'ai fait une halte chez Pierre Hermé afin de tester deux bûches: Isfahan (un dessert emblématique) et Orphéo.

La Barquette Caramel et la Tarte au Coing de François Perret (Ritz Paris)

C'est avec un retard certain que je vous parle de deux créations sucrées du talentueux François Perret: la Barquette Caramel et la Tarte au coing.

Aller au Ritz, c'est l'assurance d'être éblouie non seulement visuellement tellement le lieu est magnifique que gustativement. L'accueil est éblouissant mais jamais pesant. C'est un cocon certes luxueux, mais apaisant.

Le Bar Vendôme, particulièrement sa verrière, vous transporte dans une sorte de jardin édénique, lequel vous permet de vous consacrer pleinement au contenu de vos assiettes. 

La pâtisserie Yann Couvreur

De passage à Paris, je suis tombée par hasard sur la seconde boutique de pâtisserie de Yann Couvreur. Mon premier passage dans sa première boutique étant un délicieux souvenir, je n'ai pas résisté à l'idée de tester de nouvelles pâtisseries.

Le Goûter/ tea time Salon Proust de François Perret au Ritz (Paris)

Après avoir dégusté de délicieux desserts au Bar Vendôme, j'ai décidé de tester le goûter de François Perret au salon Proust.
Le Ritz, qui vient de rouvrir en juin dernier, a pour ambition de moderniser l'établissement tout en préservant l'histoire du lieu. L'écrivain Marcel Proust avait pour habitude de se rendre dans cet hôtel. Aussi, lui dédier un salon est une élégante manière de lui rendre hommage. En acceptant d'officier au Ritz, François Perret a ainsi hérité de ce bel espace qu'est le Salon Proust. Visiblement soucieux d'inscrire son travail dans le respect de cet héritage proustien, il a créé un goûter "à la française" en harmonie avec ce personnage de culture.

Connaître ce passé permet de comprendre sa création autour des madeleines, des biscuits secs et des gâteaux de voyage. Les clients américains sont visiblement quelque peu surpris de l'absence de salé, le tea time anglo-saxon étant par définition salé/sucré. J'aime cette idée que le goûter soit uniquement sucré (Comment peut-on s'extasier devant des sandwich cream cheese/concombre???).

Cependant, je dois avouer qu'avant de me rendre sur place, j'appréhendais un goûter autour de biscuits secs, de madeleines et de gâteaux de voyages. Comment surprendre à ce point? Mais, cette crainte a été vite balayée une fois sur place. François Perret s'est sacrément bien approprié son espace.

 

Les pâtisseries de François Perret Bar Vendôme Ritz (Paris)

C'est avec un certain enthousiasme que je partais tester les pâtisseries de François Perret au Ritz. C'est avec un enthousiasme encore plus fort que je suis ressortie du palace. Rappelons que le Ritz a rouvert le mois dernier apres 3 ans de fermeture pour travaux. Quant à François Perret, j'attendais de pouvoir goûter ses pâtisseries depuis son départ du Shangri La. J'avais loupé sa "ruche" alors je m'étais promis de ne pas recommencer l'erreur suivante: à savoir, j'aurais toujours le temps pour déguster ses créations...

Après avoir hésité entre le tea time au Salon Proust et les desserts servis sous la sublime verrière du Bar Vendôme (je reconnais que j'ai de sacrés dilemmes dans ma vie mais les amateurs de haute pâtisserie me comprendront aisément), j'ai finalement opté pour la seconde option.

(photo issue du site Internet du Ritz)

Gâteaux Thoumieux (Paris)

Avec An So de Surprises et Gourmandises, on est allées chez Gâteaux Thoumieux le 14 juillet. Et là, ça a été un petit feu d'artifices visuel et gustatif. Créée en 2013 par le chef étoilé Jean-François Piège, Ludovic Chaussard était jusqu'à encore tout récemment à la tête de cette pâtisserie.

Gilles Marchal (Paris 18)

De passage dans la Rue des Martyrs, j'ai commencé mon périple en faisant un petit crochet en haut à gauche, dans la rue Ravignan afin de tester les pâtisseries de Gilles Marchal (prenez le métro Les Abbesses, vous aurez fait votre gym avant de venir, on a bien rigolé avec des touristes en goguette dans cet escalier en colimaçon qui n'en finissait pas). Je trouve cet endroit bien choisi.

Après avoir officié dans de nombreux palaces (Crillon, Plaza Athénée, Bristol) et été directeur de la création de la Maison du Chocolat baroudant aux quatre coins de la planète, Gilles Marchal a décidé de poser ses valises et de s'installer dans le quartier de Montmartre pour créer sa propre boutique depuis l'automne 2014.

 

 

Les pâtisseries Pierre Hermé (Paris 6)

Avec An So de Surprises et Gourmandises, on a décidé de se faire une journée pâtisseries. Parmi nos étapes, le tout récent meilleur Chef pâtissier du Monde: Pierre Hermé, qui même avant cette distinction m'enchantait déjà (ici, ici, ici, ici).

On est arrivées à point nommé: accueil avec un petit chocolat. J'ai choisi le chocolat noir Ispahan. Un pur délice.

Notre vendeur, d'une extrême gentillesse, nous a bien expliqué chaque proposition sucrée.

Ce que j'apprécie chez Pierre Hermé, ce sont des étiquettes claires sur la composition des produits et le prix du produit.

Le comptoir à gâteaux de Laurent Favre-Mot (Paris 9)

 

J'ai découvert l'existence de Laurent Favre-Mot dans Fou de Pâtisserie. J'avais été étonnée par son physique... de barbu... et son portrait d'enfant terrible de la pâtisserie... Autrement, j'ai quasiment tout oublié de l'article si bien qu'il me reste que mon ressenti après avoir poussé la porte de sa boutique (laquelle était en fait ouverte car c'est l'été les amis).

Il était derrière son comptoir à gâteaux. Et là j'ai autant regardé les gâteaux que le pâtissier. En vrai, il est assez impressionnant. Sa barbe (toujours elle) lui donne un côté hipster très en vogue... mais en même temps, il dégage un subtil mélange d'élégance, de discipline et de folie. On l'imagine autant en star de rock (effet tatouages) que dans un rôle de samouraï ou bien même en héros de Into the wild. La personne semble complexe mais son travail démontre quelqu'un qui sait ce qu'il veut proposer et comment y arriver.

Dans sa boutique, ce matin-là, pas d'intitulé ni de prix d'affiché. Heureusement que tu ne t'y connais en pâtisserie, car pour dénommer les desserts ça peut être coton.

J'ai bien ri en rentrant en découvrant sur Internet que j'ai choisi un dessert sans le savoir au doux nom de "Fucking Dark Chocolate".

Quand tu lui poses des questions, il te répond toujours poliment de sa voix ultra caverneuse.

 

(photo issue de la page Facebook de Laurent Favre-Mot)

 

La boutique Fou de Pâtisserie (Paris 2)

Assidue du magazine Fou de Pâtisserie (l'unique magazine qui te propose de sublimes recettes de pâtisserie de haute voltige), il existe désormais une boutique éponyme. Si je devais oser une comparaison pour expliquer le concept, ce serait celle-ci : comme le Bon Marché concentre les meilleures marques, eh bien là, c'est pareil, une même boutique concentre les desserts signatures de grands chefs pâtissiers. La liste est belle: Jacques Genin, Philippe Conticini, Hugues Pouget, Christophe Adam, Olivier Haustraete, Jonathan Blot, Cyril Lignac, Yann Brys, Fabrice Gillotte, Pierre Hermé, Gilles Marchal.

Je m'y suis rendue pour la première fois avec An So.

tarte tourbillon de Yann Brys

La pâtisserie Yann Couvreur (Paris 10)

Avec An So, on a testé la toute nouvelle pâtisserie de Yann Couvreur située Avenue Parmentier dans le 10 ème, juste à la sortie du métro.
Yann Couvreur a jusqu'à présent exercé dans des palaces. Il a choisi de lancer sa propre boutique en peaufinant chaque détail pour que le résultat soit à la hauteur de ses espérances et de celles de ses clients.

"J'adore la Fraise" de Claire Damon (Des Gâteaux et du Pain)

Aller chez Claire Damon c'est,  à coup sûr, passer un bon moment visuel et gustatif.

J'y allais pour "J'adore la fraise", entremets qui fait la couverture du numéro Mai-Juin 2016 de Fou de Pâtisserie. Non seulement j'ai adoré, mais je me suis aussi enflammée pour la Tarte Mangue vanille coco.

La Pâtisserie du Panthéon Sébastien Degardin (Paris)

De passage près du Panthéon, je n'ai pas pu résister à l'idée de rendre visite à la Pâtisserie Degardin. Sandrine nous accueille toujours avec le sourire et sans nous presser. Du coup, j'ai testé de nouveaux produits.

 

Tea time de Cédric Grolet (Le Meurice) Paris

Nouveau tea time cette semaine, celui de Meurice sous la houlette de Cédric Grolet. Alors, autant le dire tout de suite, je crois que ce goûter est actuellement le meilleur de Paris.

 

 

 

"Le Goûter de Michalak" Teatime Plaza Athénée (Paris)

Après mes deux passages très fructueux (ici et ici), c'est avec plaisir que je suis allée de nouveau déguster un tea time au Plaza Athénée en compagnie de Religieuse et Tarte Catin.

Christophe Michalak, le chef pâtissier historique du Plaza, et son adjoint Jean-Marie Hiblot, proposent un "goûter by Michalak" dit à la française, soit exclusivement sucré. J'apprécie ce parti pris que j'attendais depuis belle lurette. Je ne comprends pas pourquoi les pâtissiers s'obstinent à servir du salé lors d'un tea time d'autant que les propositions sont souvent limitées: toasts au concombre ou saumon. Bref à chaque fois, je trouve que c'est sans intérêt.

Là au moins que du sucré! J'adore. Le serviteur muet à trois étages comprenait ce jour-là : des guimauves insert mangue, délicieuses verrines et surprises chocolatées et mini-pâtisseries.

 

Les oeufs nougatine de Pâques de Patrice Chapon (Paris)

Des fois les découvertes heureuses tiennent vraiment du hasard. Moi par exemple, du fait de la conjonction de deux événements, j'ai ainsi pu découvrir une tuerie chocolatée. Apres être ressortie bredouille de chez Philippe Conticini, la boutique ayant vendu tous ses oeufs de Pâques, je me suis dit "Pas grave, je vais aller chez Chapon" (bon je suis aussi allée chez Genin, ma carte bleue a adoré ;) ). Là, j'attends mon tour en écoutant le client devant moi. Il était en train de s'enthousiasmer pour son achat annuel à ne surtout pas louper dans cette boutique. Je lui ai forcément demandé ce qu'il achetait car 1 kilo tout de même faut reconnaître que c'est une sacrée quantité.

L'entremets de Pâques de Philippe Conticini (La pâtisserie des Rêves)

J'ai testé les deux entremets de Pâques de Philippe Conticini et son grand cru Vanille.

 

 

Les chocolats Chapon (Paris)

Un de mes collègues m'a fortement conseillé de goûter les chocolats Chapon. En ce moment, on entend beaucoup parler des mousses au chocolat Chapon avec leur bar à mousse. Il organise d'ailleurs un concours de la Meilleure Mousse aux chocolats amateur les 31 mars et 1er avril à Paris avec à la clé des prix somptueux.

Alors de passage dans la fameuse rue du Bac, j'ai poussé les portes de la chocolaterie.

Les oeufs et l'entremets de Pâques de Philippe Conticini (La Pâtisserie des Rêves)

Je vais régulièrement à la Pâtisserie des Rêves car cet endroit porte si justement son nom.

Le brunch de Sébastien Gaudard (Paris Tuileries)

Que faire un beau dimanche à Paris? Manger... Ce jour-là, j'ai décidé de tester la pâtisserie Salon de thé de Sébastien Gaudard. Comme je suis arrivée vers midi sur les lieux de ce paradis sucré/salé, je me suis laissée tenter par son brunch.

L'endroit est douillet, d'un charme d'antan, presque désuet mais d'un classicisme élégant.Ce retour aux sources, au classique est fièrement revendiqué par le maître des lieux sans pour autant le circonscrire à ce passé nostalgique. L'idée c'est de s'y référer tout en le modernisant.

L'accueil est agréable. Le personnel est charmant.

Conseil d'amie : réserver votre place car l'endroit est très prisé. J'ai eu de la chance, ils m'ont trouvé une table avec des fauteuils un poil déroutants (couleur moutarde et bleu couleur d'eau) mais dont l'assise était parfaite pour profiter pleinement de ce moment de découverte.

 

 

La pâtisserie Cyril Lignac (Paris)

Après un RDV, je suis passée à la pâtisserie Cyril Lignac qui était à une rue. J'y allais sans a priori, juste peut-être l'idée: est-ce que les pâtisseries proposées par ce chef aussi médiatique qu'hyperactif allaient être à la hauteur des espérances de ma petite personne ? En effet, outre son activité d'animateur télé, Cyril Lignac est un vrai entrepreneur: 1 restaurant 1 étoile, 2 bistrots et désormais 4 pâtisseries. On se dit, qu'à moins d'avoir plusieurs cerveaux pour paraphraser Carla Bruni et le don d'ubiquité, il faut être sacrément bien entouré. En pâtisserie, il ne s'en cache pas, il a un acolyte Benoît Couvrand, qui l’épaule efficacement. Le leitmotiv de ce binôme "Faire plaisir".

La devanture de la boutique est belle: sobre, épurée mais classe. L'intérieur l'est tout autant, avec un mobilier traditionnel pour la viennoiserie et les pains qui appelle le fait-maison.
L'accueil est courtois et bienveillant. Les produits font envie.

La pâtisserie Sébastien Degardin (Paris 5)

Bon je sens que cet endroit va devenir une de mes adresses favorites. Mes deux premiers passages ayant été concluants, j'y suis retournée. J'ai lutté pour ne pas reprendre Feuillantine Praliné. J'ai choisi Passiflore, Mara et un chausson aux pommes.

La tartelette Orange Sanguine, Cardamome, badiane de William Lamagnère (La closerie des Lilas).

William Lamagnère a eu la gentillesse de m'inviter de nouveau, cette fois à tester sa tartelette Orange Sanguine, Cardamome, badiane avant de la servir le lendemain à la Closerie des Lilas.